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C’est le nombre de figures de sainteté que Don Bosco comptait dans son entourage : saint Joseph Cafasso, l’un de ses formateurs, sa mère, maman Marguerite, déclarée vénérable en 2006, son ami saint Joseph Cottolengo, saint Dominique Savio, un de ses élèves, sainte Marie Mazarello, qui a fondé une communauté sur le modèle de Don Bosco, saint Léonard Murialdo, qui a accompagné Don Bosco, le bienheureux Michel Rua, principal collaborateur de Don Bosco pendant près de quarante ans, et le bienheureux Philippe Rinaldi, qui a nourri sa vocation au contact de Don Bosco.
Fêté le 31 janvier, saint Jean Bosco, patron des éducateurs, a montré par sa vie qu’être en mission, c’est inviter par sa personne et sa manière d’être à se tourner vers le Christ. Né en Italie au début du XIXe siècle, ce prêtre s’est beaucoup engagé auprès de la jeunesse. À son arrivée à Turin, il est en effet frappé de voir de nombreux jeunes livrés à eux-mêmes, abandonnés, sans personne pour les éduquer. Ému par cette misère matérielle, humaine et spirituelle, il décide de s’occuper d’eux. Il s’installe dans le quartier du Valdocco l’Oratoire, un lieu où ils peuvent étudier et apprendre un métier. Son système pédagogique est basé sur la confiance et prend en compte les différentes dimensions du jeune. Rapidement, les “oratoires” vont se multiplier. Il est à l’origine de l’ordre des salésiens.
