Se réaliser personnellement dans le travail, est-ce possible ? Une entreprise peut-elle apporter sa pierre pour résoudre les problèmes sociaux et s’occuper des pauvres ?
C’est avec ces questions que je suis allée à la Summer school de l’Economie de communion il y a deux ans. J’y ai rencontré des jeunes du monde entier et d’univers très variés. Les apports théoriques (ex : le partage de la richesse créée dans l’entreprise, croissance et décroissance, le dialogue comme pratique de management, etc…) des professeurs de différentes universités d’Europe sont très éclairants pour comprendre ce qu’est l’Economie de Communion et comment une économie alternative est possible.
Les ateliers de l’après-midi permettent d’entrer dans le concret. Mais j’ai surtout fait des rencontres très riches d’entrepreneurs qui pratiquent l’Economie de Communion au quotidien et partagent leur expérience.
L’attention à la personne et aux relations
Le Pape François disait il y a quelques jours en Corée : « L’expérience nous enseigne que dans un monde sans cesse globalisé, notre compréhension du bien commun, du progrès et du développement, doit en dernière analyse se faire en termes humains et pas simplement économiques ». L’ÉdeC (Économie de Communion) donne un visage à la pauvreté et concentre son attention sur la personne humaine, dans toutes ses dimensions. Avec l’ÉdeC, j’entrevois des pistes possibles et concrètes pour construire une société plus fraternelle et plus juste, où l’amour est la plus puissante force de transformation.
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Summer school d’Economie de Communion