Pour les organisateurs, “les chaussettes dépareillées sont une manière ludique et simple d’interpeller sur la différence et la norme. Alors, si comme les personnes trisomiques, vous ne vous considérez pas “dans la norme”, si pour vous “être différent, c’est normal”, dites-le en mode chaussettes !”
Sur sa page facebook Tombée du nid, Clotilde Noël, la porte-parole française de Stop Discriminating Down, a posté dimanche midi une vidéo de ses enfants en chaussettes dépareillées autour de leur petite sœur Marie, 3 ans et demi, atteinte de trisomie 21.
Dans Le Dauphiné libéré, c’est une autre maman, Sandrine Frison, maman de Camille, 18 ans, championne et trois fois médaillée d’or en tennis de table et médaillée de bronze en double lors du premier championnat du monde des personnes trisomiques en Afrique du Sud qui invite les lecteurs du journal à mettre des chaussettes dépareillées pour l’occasion et à s’informer sur la page facebook de Camille.
P.S : les chaussures dépareillées, ça marche aussi !