Serions-nous heureux si nous étions dépossédés de tout ? Si la question doit être posée, ce n’est pas pour savoir comment nous pourrions vivre heureux sans notre téléphone, notre télévision ou nos placards remplis d’habits mais, bien plus, pour s’interroger sur ce qu’il nous restera et ce qui pourra toujours nous rendre heureux. Prise en ce sens, la question change radicalement les priorités que l’on donne à son existence. Au fond, si je suis dépossédé de tous mes biens, il me reste toujours un Bien : l’amour du Père.
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Le Carême nous appelle, notamment par le jeûne, à tout abandonner et à s’abandonner totalement au Père. Sainte Teresa de Calcutta, Bienheureux Charles de Foucauld ou saint François d’Assise sont autant de modèles pour s’abandonner au Père et choisir la simplicité.
« Le manque d’amour est la plus grande pauvreté. » (Mère Teresa)
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