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1Kevin Rolland, le porte-drapeau miraculé
Il a failli mourir le 30 avril 2019, victime d’une lourde chute à La Plagne. Hospitalisé à Grenoble dans un état grave, les médecins l’ont placé dans le coma plusieurs jours et est opéré du bassin. C’est depuis sa chambre d’hôpital, qu’il a appris la naissance de son premier fils Rio. A Pékin, ce miraculé a été désigné porte-drapeau de la délégation française avec Tessa Worley.
2Quentin Fillon Maillet, la revanche de 2018
Avec ses 5 médailles (dont deux en or) décrochées en Chine, Quentin Fillon Maillet est le boss incontournable de cette équipe de France olympique. En 2018, il avait raté son olympiade, bouleversé par le cancer de son beau-père (décédé depuis) et celui de sa compagne, qu’elle a vaincu. «Avant de partir, ma copine m’a dit « Essaie de gagner pour moi, essaie de gagner pour mon papa ». Ça a été chose faite », témoigne-t-il aujourd’hui.
3Tess Ledeux, au nom du père
Médaillée d’argent en ski big air à seulement 20 ans, Tess Ledeux, cousine de Kevin Rolland, a eu la douleur de perdre son père, un an avant les Jeux Olympiques de Pékin. C’est lui qui lui avait transmis sa passion de la montagne et des grands espaces. « J’ai encore mon deuil à faire, mais je pense que c’est devenu une force supplémentaire. J’ai une petite étoile qui me porte tous les jours », dit-elle.
4Johan Clarey, un exemple de longévité
Il repousse toutes les limites d’âges. Clarey, 41 ans, a illuminé ces Jeux en devenant vice-champion olympique de descente. Une juste récompense pour celui dont on loue l’hygiène de vie irréprochable. Le voici désormais plus vieux médaillé en ski alpin de l’histoire.
5Max Parrot, plus fort que le cancer
Après sa médaille d’argent décrochée il y a quatre ans à Pyeongchang, Parrot a été contraint d’observer une parenthèse de six mois pour cancer du système lymphatique et encaisser les terribles séances de chimiothérapie liées au traitement. Le Canadien est devenu en Chine champion olympique de slopestyle.
6Erin Jackson, championne grâce à sa meilleure amie
Première afro-américaine sacrée en patinage de vitesse, Erin Jackson sait qu’elle peut remercier son amie Britanny Bowe. Celle-ci lui a gentiment cédé sa place à Pékin sur la distance de 500m, après que Jackson a raté l’épreuve de qualification. Une leçon d’altruisme dont Bowe a été récompensée puisqu’elle a obtenu la médaille de bronze olympique sur 1000m.
7Karen Chen, la robe porte-bonheur
C’est la propre mère de la médaillée d’argent olympique de danse sur glace par équipe Karen Chen qui lui a confectionné la robe du concours. « Elle a fait tout le travail, y a mis du sang , de la sueur et des larmes», a expliqué la patineuse sur Instagram. Une marque de soutien mais aussi et surtout d’amour qui a porté chance à Karen.
8Clément Noël, les larmes du surdoué du ski français
Auteur d’une deuxième manche dont on reparlera encore dans plusieurs décennies, Clément Noël s’est paré d’or en remportant l’épreuve de slalom. Une fois sa victoire acquise, le Vosgien, surdoué du ski, a littéralement fondu en larmes au micro de nos confrères de France Télévision. « Je ne sais pas si je le mérite plus qu’un autre », a-t-il lâché modestement en bas des pistes après son succès.
9Le duo Papadakis-Cizeron, l’art du rebond
En 2018, Gabrielle Papadakis et Guillaume Cizeron s’étaient contentés de l’argent en raison d’une couture craquée au niveau de la robe, lors du programme court. Quatre ans plus tard, une fois la déception évacuée, le duo tricolore a mis les points sur les i. A la clé : une médaille d’or en danse sur glace et un record du monde.
10Michelle Gisin, la famille comme source d’inspiration
Championne olympique de combiné pour la deuxième fois, la Suissesse a fait depuis toujours, de sa famille sa source d’inspiration principale. « Mon frère et ma soeur sont mes modèles. J’adorais les regarder skier, j’ai toujours voulu faire les mêmes choses. Quand j’avais 5 ans je devais me lever à 6 heures du matin pour les accompagner sur des courses, je voulais absolument être avec les grands. Je pense que j’étais la plus grande fan des deux », confesse-t-elle. Sa sœur Dominique avait notamment été sacrée championne olympique de descente en 2014.