Porter le message d’espérance et de salut du Christ à travers l’actualité et les soucis de la vie quotidienne, c’est la mission d’Aleteia. Soutenir ce média par un don défiscalisé, c’est donc, d’une certaine façon, participer très concrètement à notre mission et à en faire la vôtre, à l’image de la mission de l’Église. Car oui, Aleteia, ne vit pour l’essentiel que du don de ses lecteurs. Concrètement, les dons faits à Aleteia permettent de rémunérer plusieurs rédactions de journalistes professionnels à travers le monde, en France, aux États-Unis et au Mexique notamment, afin de répondre à la soif des lecteurs chrétiens et de tous les hommes de bonne volonté en quête d’informations et de la Vérité. C’est aussi grâce aux dons des lecteurs qu’Aleteia est en mesure d’offrir une plateforme technique et de nombreuses vidéos disponibles gratuitement en ligne pour annoncer l’Évangile avec les codes de la presse en ligne. Mais si les dons sont indispensables à Aleteia, il est bon de bien saisir la signification chrétienne de la générosité et du don.
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Un acte de gratitude
Aleteia offre chaque jour gratuitement une quantité d’informations, de méditations, de conseils et de services à ses lecteurs. Et les lecteurs sont nombreux à apprécier et défendre cette présence catholique en ligne, bien conscients du service qu’Aleteia leur apporte… et apporte aux autres. Aussi, donner à Aleteia pourrait être assimilé à une “dîme de gratitude”. Cette “dîme” est mentionnée dès le livre de la Genèse : “Quand Abram revint après avoir battu Kedor-Laomer et les rois qui étaient avec lui… Melchisédech, roi de Shalem, apporta du pain et du vin : il était prêtre du Dieu Très-Haut. Il prononça cette bénédiction : ‘Béni soit Abram par le Dieu Très-Haut, qui créa le ciel et la terre et béni soit le Dieu Très-Haut qui a livré tes ennemis entre tes mains’. Et Abram lui donna le dixième (la dîme) de tout ce qu’il avait pris.” (Gn 14,17-21 ). De même c’est Jacob qui rend grâce à Dieu et lui dit : “De tout ce que tu me donneras, je prélèverai la dîme pour toi.” (Gn 28,22).
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Un signe de communion
Donner à Aleteia, média authentiquement catholique, est un signe de communion avec tous ceux qui forment l’Église, un véritable signe d’appartenance. Car la communion spirituelle ne peut être séparée de la communion matérielle, surtout quand il est question d’annoncer la Bonne Nouvelle. Lorsque Jésus affirme : “C’est par le don que l’on acquiert la vie” (cf. Tobie 4,7b-10 et 12,7-9), il insiste pour aller plus loin en dénonçant l’acte simple de faire un don en l’absence de signification spirituelle : “Malheur à vous les pharisiens, qui acquittez la dîme de la menthe, de la rue et de toute plante potagère, et qui délaissez la justice et l’amour de Dieu ! Il fallait pratiquer ceci, sans omettre cela.” (Lc 11,42). C’est un peu dur à entendre, mais c’est bien de cela qu’il s’agit.
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Un acte d’amour
Toute la vie de Jésus est sous le signe du don. Pour lui, le don concret financier aux pauvres et le don de sa personne, ne doivent pas en être séparés. C’est ce qu’il explique quand, assis dans le Temple, Il regarde les gens déposer leur offrande. De la veuve misérable qui ne met que des piécettes dérisoires, Jésus affirme : “Cette pauvre veuve a mis plus que tous les autres. Car tous ceux-là, pour faire leur offrande, ont pris sur leur superflu mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a mis tout ce qu’elle avait pour vivre” (Lc 21, 3-4). Elle unit ainsi, en un seul acte, l’amour de Dieu et du prochain. Songez ainsi que quand un lecteur fait un don, quelque soit son montant, il le fait d’abord par adhésion à notre démarche missionnaire, convaincu de sa nécessité.
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Une joie et une grâce
S’il n’y a pas de degré dans la générosité, car tout don est chargé d’amour, le geste rend heureux, comme l’énonce saint Paul dans son discours aux anciens de l’Église d’Éphèse : “En se donnant ainsi de la peine, il faut secourir les faibles et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, car lui-même a dit : Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir” (Ac 20,35). Dans un monde où le plus pauvre est souvent mis au rebut, il est essentiel de se rappeler que chaque chrétien est redevable de ce don premier : l’abandon de Dieu pour lui. Ce don l’envoie vers l’autre pour donner à son tour.
Si vous pensez sincèrement que Aleteia est une œuvre vitale, et que vous souhaitez qu’elle perdure, son sort est entre vos mains.